Sep 10, 2012

Wave2012, Jour J!

Category: Actualité Revolt-Engineering
Posted by: lelongy

Je reviendrai plus tard sur notre arrivée à Gênes : fatigué, pas le temps, et puis d’abord la connexion de l’hotel a un débit dérisoire (à l’inverse de son prix). 

Réveil à 6 H ce matin.
La première mission de la journée est de poser les stickers de nos formidables sponsors (Merci encore les gars) sur la voiture.
Le parc est à l’autre bout du port, mais un petit jogging matinal n’a jamais fait de mal à personne. Et puis il y a plein de bateaux incroyables sur le chemin.
 
 
 
Celui-ci embarque en annexes un modeste voilier et (on ne le voit pas car il est de l’autre coté) un énorme hors bord.
 
 
D’après le nom, il doit aussi y a avoir des plongeurs à bord.
 
Nous revenons en quatrième vitesse à l’hotel pour engouffrer le p’tit dèj continental car il est déjà 7H15, et nous sommes sensés être de nouveau au parc à 7H30.
Bon, heureusement, même Louis, notre « Tour Director » est en retard, comme semble le déplorer son second.
 
 
Les ultimes instructions sont donc données sur le quai, avec vue sur les ferries qui crachent tout ce qu’ils peuvent de fumée noire. C’est sûr, il va falloir pas mal rouler « green » pour compenser leur bilan carbone…
 
 
La sortie de Gênes est toute en montée, et les premiers km affolent la jauge d’énergie.
 
Mais quand on monte, on finit toujours par redescendre. La régénération nous permet de récupérer une partie des précieux kw.
 
Verdict à la mi-journée : il reste 50% de charge pour 130 km parcourus.
 
 
Et encore, on est partis avec seulement 95% de charge ce matin.
 
En fin d’après midi, Louis nous a préparé une petite surprise pour notre arrivée à Turin.
 
 
Nous arrivons en ordre dispersé sur la Via Roma (la rue de Rivoli locale pour comparer) qui a été bloquée par la police, pour un bain de foule. Evidemment, la Lotus Evora et la Tesla ont la part belle, et les Twikes attirent toujours autant les enfant et les italiennes.
 
Quelques italiens viennent quand même nous demander si notre AX fonctionne bien à l’électricité (des fois qu’ont y mettrait de l’essence par inadvertance, ou qu’on serait là par erreur).
 
 
 
Une italienne
 
 
 
La foule commence à s’éclaircir, c’est l’heure de dîner…
 
 
 
Pour les voitures aussi, qui rejoignent non sans quelques errements l’institut polytechnique de Turin pour recharger :
 
 
 
 
 
Avant d’aller prendre une bonne bière et faire dodo, on a même pu espionner un peu ledit institut.
 
Verdict : nous avons l’intime conviction que les italiens vont lancer un modèle de machine à laver révolutionnaire :
 
 
Le moteur de la machine à laver du futur. Le linge ressort complètement sec.
  
 
A demain !
 
Yann et Gérard !


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